Médicaments, crèmes de beauté, légumes plus résistants, plats surgelés ou carburants écologiques... Pour élaborer ces produits innovants, on a besoin de biologistes. A la pointe du progrès, les biotechnologies utilisent les sciences du vivant et les nouvelles technologies pour faire avancer la recherche : séquençage ADN, élaboration de nouveaux vaccins, dépollution biologique... Ce secteur prometteur offre de réelles opportunités d’emploi aux techniciens, ingénieurs ou chercheurs en laboratoire comme dans l’industrie.

Dans ce numéro, 23 métiers sont regroupés en trois grandes familles : Recherche et développement (ingénieur/e recherche et développement, technicien/ne en analyses biomédicales...) ; Production (chef de projet biotechnologies...) ; Sécurité et qualité (technicien/ne de laboratoire bactériologique, toxicologue...). On retrouve ces métiers dans des domaines variés : agroalimentaire, santé, cosmétique et environnement.

Une large offre de formations est ensuite proposée au lecteur. Directement opérationnels, les titulaires de BTS et DUT n’ont aucun mal à s’insérer. Mais nombre d’entre eux poursuivent en licence pro pour se spécialiser dans un domaine d’application. Une partie entre en licence générale puis en master, ou bien tente d’intégrer une école d’ingénieurs. D’autres s’orientent vers les écoles spécialisées. Il faut compter 5 années d’études au minimum pour atteindre, au terme d’une spécialisation progressive, un niveau scientifique pointu.

Voici le lien vers ce fascicule de l’ONISEP
http://librairie.onisep.fr/Collections/Grand-public/Parcours/Les-metiers-de-la-biologie-et-des-biotechnologies